Publié le par Hélène R. dans les rubriques Chanson, Poésie
Ça passera
Y aura des jours où t’auras pas la force
Y aura des jours où faudra qu’tu te forces
à te porter de la chambre à la salle de bain
Y aura des jours où ça sera moche
tout ce qui attirera ta pensée
Des jours où dans ta caboche, y’aura
pas grand-chose pour faire avancer
Mais ça n’est rien
Ça n’est rien que la fatigue
qui nous pèse à tous un peu
Ça n’est rien d’autre que le vide
qui nous enveloppe quand on est seul
Rien que l’échine qui s’incline
face au désespoir souvent
Rien que la mélancolie
qui d’un coup devient trop pesante
Mais ça passera
Y aura des jours où tu t’regarderas dans la glace
histoire de te dévisager
où tu n’y verras qu’une masse
informe d’inutilité
Y aura des jours de perdition
Quand l’amour est en désertion
Quand les pleurs nous cueillent au réveil
après une nuit sans sommeil
Y aura des jours d’introspection
celle qui est maladive est vaine
Quand une nuée de bourdons
viendra s’abattre dans ta tête
Mais ça passera
Mais ça passera
Mais ça passera
Mais ça passera
Y aura aussi des jours de gloire
Mais là tu te sens en prison
Emprisonné dans désespoir
et soumis à la dépression
Y aura des journées en fanfare
en chemin vers la guérison
Accroche-toi donc à tes espoirs
et prends une longue inspiration
Car ça passera
Le temps est long
Oui, ça passera
Y aura des jours où faudra qu’tu te forces
à te porter de la chambre à la salle de bain
Y aura des jours où ça sera moche
tout ce qui attirera ta pensée
Des jours où dans ta caboche, y’aura
pas grand-chose pour faire avancer
Mais ça n’est rien
Ça n’est rien que la fatigue
qui nous pèse à tous un peu
Ça n’est rien d’autre que le vide
qui nous enveloppe quand on est seul
Rien que l’échine qui s’incline
face au désespoir souvent
Rien que la mélancolie
qui d’un coup devient trop pesante
Mais ça passera
Y aura des jours où tu t’regarderas dans la glace
histoire de te dévisager
où tu n’y verras qu’une masse
informe d’inutilité
Y aura des jours de perdition
Quand l’amour est en désertion
Quand les pleurs nous cueillent au réveil
après une nuit sans sommeil
Y aura des jours d’introspection
celle qui est maladive est vaine
Quand une nuée de bourdons
viendra s’abattre dans ta tête
Mais ça passera
Mais ça passera
Mais ça passera
Mais ça passera
Y aura aussi des jours de gloire
Mais là tu te sens en prison
Emprisonné dans désespoir
et soumis à la dépression
Y aura des journées en fanfare
en chemin vers la guérison
Accroche-toi donc à tes espoirs
et prends une longue inspiration
Car ça passera
Le temps est long
Oui, ça passera