Publié le par Hélène R. dans les rubriques Amour, Chanson, Poésie
Avœu
Ouais j’cherche l’amour mais j’le dis plus.
Maint’nant je mens, je mendies plus
des sentiments même quand il pleut.
J’pense à l’amour quand j’ferme les yeux.
Lâche il paraît, j’dirais usée.
‘Paraît rusé de tout lâcher ;
J’sais pas répondre à mon désir.
Séparés ton nom s’éternise…
J’bâtis des rêves, j’embrasse ton air,
Je me nourris d’imaginaire.
J’bâtis des rêves, j’embrasse ton air,
Je m’emmure dans l’imaginaire.
J’ai peur du rejet, du mépris,
J’ai pas d’argent pour payer l’prix
d’une leçon pas encore apprise ;
Le plus souvent c’est une méprise.
Mes idées volent haut dans les airs,
Mes idéaux maintenus à terre ;
On n’mélange pas psychanalyse
Avec envie de poésie.
J’bâtis des rêves, j’embrasse ton air,
Je me nourris d’imaginaire.
J’bâtis des rêves, j’embrasse ton air,
Je m’ennuie dans l’imaginaire.
Oui j’aime aimer mais en silence
et j’aime l’amour dans sa substance ;
Je me languis en son absence
uniquement aux limites du sens.
Je me projette bien moins souvent
car je préfère que mes attentes
ne se confrontent pas au réel
où s’affrontent sa quête et la mienne.
J’bâtis des rêves, j’embrasse ton air,
Je me nourris d’imaginaire.
J’bâtis des rêves, j’embrasse ton air,
Je m’enfuis dans l’imaginaire.
Maint’nant je mens, je mendies plus
des sentiments même quand il pleut.
J’pense à l’amour quand j’ferme les yeux.
Lâche il paraît, j’dirais usée.
‘Paraît rusé de tout lâcher ;
J’sais pas répondre à mon désir.
Séparés ton nom s’éternise…
J’bâtis des rêves, j’embrasse ton air,
Je me nourris d’imaginaire.
J’bâtis des rêves, j’embrasse ton air,
Je m’emmure dans l’imaginaire.
J’ai peur du rejet, du mépris,
J’ai pas d’argent pour payer l’prix
d’une leçon pas encore apprise ;
Le plus souvent c’est une méprise.
Mes idées volent haut dans les airs,
Mes idéaux maintenus à terre ;
On n’mélange pas psychanalyse
Avec envie de poésie.
J’bâtis des rêves, j’embrasse ton air,
Je me nourris d’imaginaire.
J’bâtis des rêves, j’embrasse ton air,
Je m’ennuie dans l’imaginaire.
Oui j’aime aimer mais en silence
et j’aime l’amour dans sa substance ;
Je me languis en son absence
uniquement aux limites du sens.
Je me projette bien moins souvent
car je préfère que mes attentes
ne se confrontent pas au réel
où s’affrontent sa quête et la mienne.
J’bâtis des rêves, j’embrasse ton air,
Je me nourris d’imaginaire.
J’bâtis des rêves, j’embrasse ton air,
Je m’enfuis dans l’imaginaire.